Sunday, September 9, 2018

SARDINIA Music of Sardinia (Musica Sarda) Vol. 2 – Polyvocal and Liturgical Music – Albatros VPA 8151

SARDINIA – SARDAIGNE
Music of Sardinia (Musica Sarda) Vol. 2 – Polyvocal and Liturgical Music – Albatros VPA 8151, recorded 1964-1968 (LP)
Musica Sarda musique sarde traditionnelle polyphonies polyphony anthology of religious polyvocal music from Sardinia (Sarda)

Musica Sarda musique sarde traditionnelle polyphonies polyphony anthology of religious polyvocal music from Sardinia (Sarda)

Musica Sarda musique sarde traditionnelle polyphonies polyphony anthology of religious polyvocal music from Sardinia (Sarda)

Musica Sarda musique sarde traditionnelle polyphonies polyphony anthology of religious polyvocal music from Sardinia (Sarda)

Following Vol. 3 of the Albatros label’s marvelous three-record anthology Music of Sardinia here, we present Music of Sardinia Vol. 2, showcasing sacred polyvocal music on Side A and liturgical songs and processionals on Side B, sung by women, boys or men.

Side A features a Mutettu (A1), sacred Gozos (A2); a boys choir accompanied by a harmonium during Easter Holy week (A3); multi-voice recitations (A4); a Perantunada in honor of St. Anthony (A5), extempore triplet and octave improvisations (A6, A7), and a rosary (A8); Side B includes processionals (B3, B4), Miserere (B5, B7), Summons to the Passion (B1), Domine Jesu Christe chanted during the worship of the holy Cross on Good Friday (B2), and Antiphone performed by a five-voice chorus during the reading of the Gospels on Palm Sunday (B6).

Religious brotherhoods play an essential role in preserving and transmitting polyphonic sacred music, especially through the ritual processions at the heart of Sardic culture. It is important to note that Sardinia’s secular music is also polyphonic.


Suite au vol. 3 de la superbe anthologie de musique sarde sur le label Albatros ici, nous partageons ici le Vol. 2 de Musica Sarda qui présente la musique polyvocale sacrée sur la Face A et les chants liturgiques et les cantiques de procession sur la Face B, chantés par des femmes, des garçons ou des hommes. 

La face A comporte un Mutettusa Trallalero (A1) ; un Gozos de la Semaine Sainte de Pâques (A2) ; un choeur de garçons accompagné d'un harmonium pendant la Semaine Sainte de Pâques (A3) ; des récitations à plusieurs voix (A4) ; une Perantunada en l'honneur de Saint Antoine (A5) ; des improvisations vocales Terzine et Ottawa (A6, A7) et un chapelet chanté (A8). La face B comprend des cantiques de processions (B3, B4), Miserere (B5, B7), La Passion (B1), le Domine Jesu Christe chanté lors du culte de la Sainte Croix le Vendredi Saint (B3), et Antipode avec un choeur à 5 voix accompagnant la lecture des Evangiles le Dimanche des Rameaux (B6).

Les confréries religieuses jouent un rôle essentiel dans la préservation et la transmission de la musique sacrée polyphonique, en particulier lors de rites et processions qui font partie intégrante de l’identité sarde. Il convient de noter que la musique traditionnelle profane de Sardaigne est également polyphonique.


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The photographs below are from La Corse et la Sardaigne by Alex Décotte and Maximilien Bruggmann, Editions Silva, Zurich, 1982, and Sardaigne Romane by Renata Serra, Zodiaque, 1989:


La Corse et la Sardaigne by Alex Décotte et Maximilien Bruggmann, Editions Silva, Zurich, 1982


Sardaigne Romane by Renata Serra, Zodiaque, 1989


Sardaigne Romane by Renata Serra, Zodiaque, 1989


Sardaigne Romane by Renata Serra, Zodiaque, 1989

Sunday, September 2, 2018

CUBA – Musique Afro-Cubaine – Disques Alvarès 453

CUBA
Cuba  Musique Afro-Cubaine – Disques Alvarès 453, recorded by Pierre d'Ursel (LP)
Cuba Santeria Guaguanco Afro Cuban Yoruba Ritual cult Traditional African music religion black tribal ceremony ritual magic musique africaine vinyl

Cuba Santeria Guaguanco Afro Cuban Yoruba Ritual cult Traditional African music religion black tribal ceremony ritual magic musique africaine vinyl

Cuba Santeria Guaguanco Afro Cuban Yoruba Ritual cult Traditional African music religion black tribal ceremony ritual magic musique africaine vinyl

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Following our posts on Haitian Vodun (Vaudou), Jamaican traditional music and Brazilian Capoeira, we continue our exploration of the African musics introduced to the Americas by slaves, which proved vital for preserving African spiritual and philosophical systems. The Cuban Santeria, or Lucumi, showcased here is dominated by the Yoruba religion from Western Nigeria and Benin. The Yoruba believe that Olodumare (God) is the source of all the Ashé (life force) in the Universe, and sent the Orisha divinities to govern the earth. Santeria also incorporates Roman Catholic elements, where each Yoruba divinity (Ogun, Yemaya, Obatala, etc.) is associated with a Christian saint summoned through music and trancelike dancing. 

This LP features a Santeria which narrates the tumultuous relationships between divinities symbolizing the struggle between good and evil, and good (Ogun) ultimately prevails (A1-A4); Yambu music (A5); proto-modern Rumba played by Los Papines (A6); Guaguanco music (B1-B2); and a Yoruba-Catholic ritual performed by the National State Ballet of Cuba (B3-B6).

Modern Cuban music (Son, Charanga, etc.), which helped forge a new Cuban identity, is the remarkable meeting of African rhythms, polyphony, call-response and dancing combined with Spanish tres guitar, language, harmony, and romanticism. 

Suite à nos posts sur le Vaudou Haïtien, la musique traditionnelle Jamaïcaine et la Capoeira Brésilienne, nous poursuivons notre exploration des musiques et des religions africaines introduites par des esclaves Africains sur le continent Américain avec la Santeria (ou Lucumi) de Cuba dominée par les croyances Yoruba du Nigeria occidental et du Bénin. Les Yoruba considèrent qu'Olodumare (Dieu), qui est la source de toute force de vie Ashé dans l'Univers, a envoyé les divinités Orisha pour s'occuper des affaires terrestres. La Santeria incorpore également des éléments de la liturgie catholique, où chaque divinité Yoruba (Ogun, Yemaya, Obatala, etc.) est associée à un saint chrétien invoqué à travers la musique et la danse. 

Cet album présente une Santeria sur les relations tumultueuses entre les divinités symbolisant la lutte entre le bien et le mal, avec l'ultime victoire du bien (Ogun) (A1-A4); de la musique Yambu (A5); une Rumba proto-moderne jouée par Los Papines (A6); de la musique Guaguanco (B1-B2); et un rituel Yoruba-Catholique exécuté par le Ballet National d’Etat de Cuba (B3-B6). 

La musique Cubaine moderne (Son, Charanga, etc.) – qui a grandement contribué à forger une nouvelle identité Cubaine – est une synthèse remarquable de deux cultures musicales radicalement différentes: les rythmes, la polyphonie, l'appel-réponse (le choeur répondant au chanteur principal), et la danse de l'Afrique, et la guitare tres, l'harmonie et le romantisme Hispanique.


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MP3


Our other Cuban music share:
Carnaval à Santiago de Cuba - CDM LDX A 4250 here

Saturday, August 25, 2018

INDIA M. D. Ramanathan – HMV 7 EPE 1646

INDIA – INDE
M. D. Ramanathan – HMV 7 EPE 1646 – 1969 (Vinyl 7 inch, 45 RPM)
(1923-1984)
South Indian Carnatic Vocal Music Musique vocale de l'Inde du Sud

South Indian Carnatic Vocal Music Musique vocale de l'Inde du Sud

South Indian Carnatic Vocal Music Musique vocale de l'Inde du Sud

South Indian Carnatic Vocal Music Musique vocale de l'Inde du Sud

Born in Manjapara, a small village in Kerala, in 1923, Carnatic vocalist M. D. Ramanathan, aka MDR, was first trained in music by his father before being taken under the wing of the outstanding musician and teacher Tiger Varadachariar (1876-1950).

With his rich, deep and soothing voice and slow-tempoed rendering, which set him apart from his contemporaries, MDR quickly established himself on the South Indian music scene.

He also composed over 300 Carnatic songs (kritis) in Sanskrit, Tamil and Telugu, often spontaneously inspired during visits to temples and holy places. According to T. M. Sivaraman*, “He was a great devotee of Lord Rama, and was very well versed in all aspects of Hindu religion, spirituality, mythology, various temples and their traditions and the relationship of great saint singers to these temples.”
*http://www.carnaticdarbar.com/


These two tracks exemplify the unhurried feeling of serenity, poetry and reflective sobriety conveyed by MDR’s music. He is accompanied here by the eminent M.S. Gopalakrishnan (1931-2013) on violin and T.V. Gopalakrishnan (b. 1932) on mridangam.

Né à Manjapara, un petit village du Kerala, en 1923, le chanteur Carnatic M. D. Ramanathan, alias MDR, a d'abord appris la musique sous la conduite de son père, musicien et professeur de musique, avant que Tiger Varadachariar (1876-1950), un des grands doyens de la musique au Tamil Nadu, ne prenne sous son aile celui qui deviendra son plus grand disciple. 

Avec sa voix riche, profonde et apaisante et son utilisation d’un tempo lent, MDR se distingue de ses contemporains et s’impose rapidement sur la scène musicale d'Inde du Sud.

Il a également composé plus de 300 chansons carnatiques (kritis) en sanskrit, en tamoul ou en telugu, souvent inspirées spontanément lors de visites de temples et de lieux saints. Selon T. M. Sivaraman*, "il était un grand dévot de Lord Rama et avait une connaissance approfondie de toutes les facettes de l'Hindouisme, sa spiritualité, sa mythologie, ses divers temples et traditions, ainsi que des liens qui unissent les grands saints chanteurs à ces temples."
*http://www.carnaticdarbar.com/ (traduit de l’anglais)


Ces deux morceaux illustrent la sensation de sérénité, de poésie et de sobriété contemplative qu’évoque la musique de MDR. Il est accompagné ici par les éminents M.S. Gopalakrishnan (1931-2013) au violon et T.V. Gopalakrishnan (né 1932) au mridangam.


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MDR's guru Tiger Varadachariar (1876-1950):




The photographs below are from Dieux et Brahmanes de l'Inde by Louis Frédéric, Livre de Paris, 1961:


Dieux et Brahmanes de l'Inde by Louis Frédéric, Livre de Paris, 1961



Dieux et Brahmanes de l'Inde by Louis Frédéric, Livre de Paris, 1961



Dieux et Brahmanes de l'Inde by Louis Frédéric, Livre de Paris, 1961

Saturday, August 18, 2018

MOROCCO – MAROC Musique Confrérique du Maroc - Les Possédés d'Allah – BAM LD 5897

MOROCCO – MAROC
Musique Confrérique du Maroc - Les Possédés d'Allah – BAM LD 5897 – recorded by Daniel Morzuch in 1975 (LP)
Music Sufi brotherhood Gnawa Tehama Aissawa musique des confréries soufi ceremony trance ritual healing Maroc gumbri ghaita

Music Sufi brotherhood Gnawa Tehama Aissawa musique des confréries soufi ceremony trance ritual healing Maroc gumbri ghaita

Music Sufi brotherhood Gnawa Tehama Aissawa musique des confréries soufi ceremony trance ritual healing Maroc gumbri ghaita

Music Sufi brotherhood Gnawa Tehama Aissawa musique des confréries soufi ceremony trance ritual healing Maroc gumbri ghaita

Music Sufi brotherhood Gnawa Tehama Aissawa musique des confréries soufi ceremony trance ritual healing Maroc gumbri ghaita

Music Sufi brotherhood Gnawa Tehama Aissawa musique des confréries soufi ceremony trance ritual healing Maroc gumbri ghaita

The Gnawa, Tuhama, and Aissawa Muslim brotherhoods of Morocco presented here are all connected to a time-honored initiatory Sufi chain of mystical seekers named after the woolen garments (Suf) they wear as a badge of their having renounced the world. Their pursuit of the path of a mystical union with God includes direct intuitive and emotional spiritual experiences and a deep understanding of symbolism.

The brotherhoods also actively partake in cultural and community life through their music, dances, ceremonies and rituals, healing powers and famed Baraka (spiritual benefits). This compelling LP includes wonderful Gnawa three-string gumbri lute and singing (A1-A2) and eerie Aissawa ghaita oboes (B2-B3) which we already showcased in a preceding post here.

Les confréries musulmanes marocaines Gnaoua, Tuhama et Aissaoua (ou Ayssawa) présentées ici sont toutes reliées à une longue chaîne de mystiques soufis vétus de vêtements en laine (Suf) qu'ils portent en signe d’ascèse et de renoncement au monde. Ils poursuivent ainsi la voie d'une union mystique avec Dieu à travers notamment des expériences spirituelles intuitives et émotionnelles directes et une compréhension profonde du symbolisme. 

Les confréries participent aussi activement à la vie culturelle et communautaire locale à travers leurs musiques, leurs danses, leurs cérémonies et rituels, leurs pouvoirs de guérison et baraka (bénéfices spirituels). Cet album inspiré comprend un magnifique luth à trois cordes gumbri et du chant (A1-A2) et des haut-bois ghaïta déroutants (B2-B3) que nous avons déjà présentés dans un précédent post sur les Aissaoua.
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Don’t miss the excellent Gnawa music, particularly the fabulous Mustafa Baqbou cassette, and more at http://moroccantapestash.blogspot.com


Music Sufi brotherhood Gnawa Tehama Aissawa musique des confréries soufi ceremony trance ritual healing Maroc gumbri ghaita


Music Sufi brotherhood Gnawa Tehama Aissawa musique des confréries soufi ceremony trance ritual healing Maroc gumbri ghaita



Sunday, August 12, 2018

NIGERIA Nigéria Musiques du Plateau – Ocora OCR 82

NIGERIA – NIGÉRIA
Nigéria Musiques du Plateau – Ocora OCR 82 – recorded by Benoît Quersin in 1972 in collaboration with the Institute of African Studies, University of Ife; photographs by Christine Quersin (LP)
Jos Plateau State Traditional African Music ritual ceremony magic spirits ancestors Angas, Birom, Jarawa, Burom, Yergam, and Pyem people

Jos Plateau State Traditional African Music ritual ceremony magic spirits ancestors Angas, Birom, Jarawa, Burom, Yergam, and Pyem people

Jos Plateau State Traditional African Music ritual ceremony magic spirits ancestors Angas, Birom, Jarawa, Burom, Yergam, and Pyem people

Jos Plateau State Traditional African Music ritual ceremony magic spirits ancestors Angas, Birom, Jarawa, Burom, Yergam, and Pyem people



Jos Plateau State Traditional African Music ritual ceremony magic spirits ancestors Angas, Birom, Jarawa, Burom, Yergam, and Pyem people

Jos Plateau State Traditional African Music ritual ceremony magic spirits ancestors Angas, Birom, Jarawa, Burom, Yergam, and Pyem people

Perched at an altitude of 1,200 m (4,000 ft), Jos Plateau in central Nigeria benefits from a temperate climate and hosts an enormous cultural and religious diversity, with some 60 distinct ethnic groups. This album presents the music of the Angas, Birom, Jarawa, Burom, Yergam, and Pyem people and includes music performed for the ancestors and nature spirits, fertility rites, dancing and praises. 

This outstanding Ocora release has an excellent musical quality, highlighting the otherworldliness, abstraction and groove of this music: a griot sings praises accompanied by an eight-string harp (A1); two musicians play simultaneously on a 14-blade xylophone with zebu horns as resonators (A2); a molo harp (A3); molo zithers (A4, A5); a flute and drum ensemble (A6); a whistle flute ensemble celebrating the harvest (B1); villagers sing the story of a man abducted by water spirits who later returns to the village inspired by his newfound Komtin powers bestowed to him in the invisible world (B2); ensembles with zithers, bow harps, rattles, bottle, and katako castanets (B3, B4); entertainment dance (B5); Hausa-inspired music with monochord fiddles and various drums (B6); two goge monochord fiddles (B7).

Le plateau de Jos, situé au centre du Nigeria, à plus de 1 200 mètres d’altitude bénéficie d'un climat tempéré et accueille une étonnante diversité culturelle et religieuse avec une soixantaine d'ethnies différentes. Cet album présente les musiques des Angas, Birom, Jarawa, Burom, Yergam et Pyem jouées à l'attention des ancêtres et des esprits, lors de rites de fertilité, pour la danse ou chanter des louanges. 

Ce disque Ocora exceptionnel nous donne à entendre un univers sonore fait de rythmes et de pulsations, d'envolées lyriques collectives et d'abstractions polyphoniques qui évoquent une autre réalité: un griot chante des louanges accompagné de sa harpe à huit cordes (A1) ; deux musiciens jouent simultanément sur un xylophone à 14 lames résonant dans des cornes de zébu (A2) ; une harpe molo (A3) ; des cithares molo (A4, A5) ; un ensemble de flûtes et de tambours (A6) ; un ensemble de sifflets pour célébrer la nouvelle récolte (B1) ; des villageois chantent l'histoire d'un homme enlevé par des esprits de l'eau qui réapparut un jour au village en transe, inspiré par ses nouveaux pouvoirs komtin qui lui ont été conférés dans le monde invisible (B2) ; des ensembles avec des cithares, des harpes, des hochets, une bouteille en verre et des castagnettes katako (B3, B4); une danse de divertissement (B5); une musique d'inspiration Haoussa avec violon monocorde et tambours (B6); et deux vièles monocordes goge (B7).



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Jos Plateau State Traditional African Music ritual ceremony magic spirits ancestors Angas, Birom, Jarawa, Burom, Yergam, and Pyem people





Jos Plateau State Traditional African Music ritual ceremony magic spirits ancestors Angas, Birom, Jarawa, Burom, Yergam, and Pyem people

Sunday, August 5, 2018

AZERBAIJAN Unesco Collection – A Musical Anthology of the Orient – BM 30 SL 2024

AZERBAIJAN – AZERBAÏDJAN
Unesco Collection – A Musical Anthology of the Orient – BM 30 SL 2024, Radio Baku recordings, commentaries by Habib H. Touma (LP)
Azeri traditional music musique traditionnelle azérie tar zurna duduk kamanche

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Azeri traditional music musique traditionnelle azérie tar zurna duduk kamanche

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This anthology of Azeri music, played in Azerbaijan and in the Azerbaijan province of Iran, presents a rich musical tradition featuring various traditional instruments, including the tar, a long-necked fretted lute, played by Bahram Mansurov (1911-1985) (A1, A2); Arzan Dadashev playing ud (arabic lute) (A3); the vocals of Khan Shushinsky (1901-1979) accompanied by an orchestra (B1), the kamanje (or kamanche), an Iranian bowed string instrument, played by Abil Aliyev (1927-2015) (B2); Amrah Gyalma singing and playing the saz (a long fretted lute) (B3) in the Ashug, or Ashiq, traveling bard tradition, which plays a central role in the Azerbaijani cultural and poetic identity; the double-reed zurna and nagara drums to accompany dancing (B4); and Bahruz Zeinalov playing the double-reed duduk (B5).

Cette anthologie de la musique azérie, jouée en Azerbaïdjan et dans la province de l'Azerbaïdjan en Iran, présente une riche tradition musicale comprenant divers instruments traditionnels, y compris le 
luth tar joué par Bahram Mansurov (1911-1985) (A1, A2); Arzan Dadashev sur le oud (luth arabe) (A3); la voix de Khan Shushinsky (1901-1979) accompagné par un orchestre (B1), le kamanje (ou kamanche), une vièle à archet d'origine persane jouée par Abil Aliyev (1927-2015) (B2); Amrah Gyalma chantant et jouant du luth saz (B3) dans la tradition des bardes Ashiq qui ont un rôle central dans l'identité culturelle et poétique azerbaïdjanaise; un hautbois zurna et des tambours nagara pour accompagner une danse héroïque (B4); et Bahruz Zeinalov jouant du duduk (ou doudouk) à anche double (B5).


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Azeri traditional music musique traditionnelle azérie tar zurna duduk kamanche


The photograph below is from The World of Islam by Ernst J. Grube, McGraw-Hill, 1967: 

"The Prophet, in a magnificent flaming halo, is shown riding Burak, the fantastic human-faced horse-like creature, surrounded by angels ascending through the clouds of a starry sky to the Seven Heavens in the Night Journey that brings Him to see the Pleasures of Paradise and the Punishments of Hell."
Painted in Tabriz in Iranian Azerbaijan, early 16th century.

The Prophet in a magnificent flaming halo, is shown riding Burak, the fantastic human-faced horse-like creature, surrounded by angels ascending through the clouds of a starry sky to the Seven Heavens in the Night Journey that brings Him to see the Pleasures of Paradise and the Punishments of Hell. Tabriz 16th century

Wednesday, August 1, 2018

INDIA Sharan Rani – Raag Miya Ki Todi / Raag Malkauns – HMV 7 EPE 1211

INDIA – INDE
Sharan Rani – Raag Miya Ki Todi / Raag Malkauns – HMV 7 EPE 1211 – 1961 (Vinyl 7 inch, 45 RPM)
(1929-2008)
#India # Inde #Sharan Rani #sarod #Hindustani #raga #Maihar Gharana #Allaudin Khan #Ali Akbar Khan #Indian music #tabla #traditional music #world music #vinyl #Queen of sarod #Disques Vogue #MusicRepublic
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Born into a prominent family in Delhi, Sharan Rani overcame the strong disapproval of her social milieu, and gender biases, to embrace a life dedicated to music. Through hard work, devotion and immense talent, she honed her skills on the sarod under the expert guidance of Baba Allaudin Khan and Ali Akbar Khan to become the first major female Hindustani instrumentalist. She toured in India and abroad, became a sought-after teacher, wrote an authoritative book on the history of the sarod, and collected an impressive collection of hundreds of rare musical instruments, some dating back to the 15th century, currently exhibited at the National Museum, New Delhi. Rani liked to say “Music is the breath of my life.”

These rare recordings from 1961 exemplify the Queen of Sarod's brilliant mastery, range and emotion.


Née dans une famille éminente de Delhi, Sharan Rani a dû surmonter la désapprobation virulente de son milieu social et le fait d'être une femme pour se consacrer corps et âme à la musique. Grâce à son travail acharné, son dévouement et son immense talent, elle perfectionne sa maîtrise du sarod auprès de Baba Allaudin Khan et d'Ali Akbar Khan pour devenir la première instrumentiste de renom de la musique Hindustani. Elle donne de nombreux concerts en Inde et à l'étranger, transmet son savoir auprès des jeunes générations, écrit un livre faisant autorité sur l'histoire du sarod et créé une collection unique de centaines d'instruments de musique rares, certains datant du 15ème siècle, actuellement exposée au Musée national de New Delhi. Sharan Rani aimait à dire que « La musique est le souffle de ma vie »
.

Ces enregistrements rares de 1961 illustrent la brillante virtuosité, l'intensité et l'étendue des émotions exprimées par la Reine du sarod.


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Flac

MP3


The cover of this record was designed by South-Indian classical dancer and teacher Amala Devi.

The photograph below is from Indian Miniatures by G.D. Khullar, National Museum New Delhi, R & K Publishing House, New Delhi, 1967:


MusicRepublic INDIA – INDE Sharan Rani – Raag Miya Ki Todi / Raag Malkauns – HMV 7 EPE 1211